Les statistiques ne servent à rien


Beaucoup de créateurs se compliquent la tâche en utilisant des systèmes de statistiques complexes, à commencer par Google Analytics qui, en réalité, est complètement inutile dans nos métiers.

Il est inutile, d’abord parce que les statistiques ont tendance à s’auto-compenser : lorsqu’un chiffre augmente, il en fait baisser un autre :

Par exemple, si tu réussis à augmenter le taux d’inscription à ta mailing-list, la plupart du temps, ton revenu moyen par inscrit baissera. Les choses s’égaliseront.

Ce qui est normal : une page d’inscription attrayante convaincra plus de personnes moins intéressées et moins impliquées. Plus tu utilises d’incitations et d’appels à l’action poussifs, plus ton taux d’inscription augmentera.... et en conséquence, la portion de tes inscrits qui n’est pas vraiment qualifiée (et donc, qui achètera moins souvent) augmentera aussi.

De la même façon, plus un argumentaire de vente est convaincant, moins les clients qu’il persuadera de passer à l’achat seront fidèles sur la durée.

Il y a toujours un prix à payer : chaque augmentation d’un chiffre entraîne presque toujours la baisse d’un autre.

Beaucoup de créateurs perdent un temps et une énergie folle à essayer d’améliorer les résultats qu’ils obtiennent sur un petit point spécifique. Mais quelques semaines plus tard, ils constatent souvent que leurs efforts n’ont servi à rien : l’augmentation d’un indicateur a été compensée par la baisse d’un autre…

Il y a deux points, et deux points seulement qui ne sont pas soumis à ce phénomène.

Ce sont la fréquence et le positionnement.

La fréquence, c’est la régularité à laquelle tu proposes des nouveaux contenus et de nouvelles offres.

Le positionnement, c’est l’approche que tu emploies pour ta thématique, tes valeurs, ta personnalité et le ton de ton contenu.

Ce sont les deux seuls points sur lesquels cela vaut vraiment la peine d’essayer de progresser. Parce que les progrès qu’on fait sur ces deux points ne sont jamais compensés par une baisse équivalente d’un autre côté.

Si tu es prêt à t’ouvrir à une approche complètement différente de ce métier, une approche qui a pour but de construire une activité stable, fiable et durable, le Manuel des activités web durables peut t’aider.

Il contient par exemple :

– Les 3 règles à suivre pour ne plus jamais avoir besoin de faire de « vente dure » (tes produits vont se vendre tout seuls, avec 1 % de l’effort de persuasion normalement requis) (page 17).

– Les 2 critères à suivre pour choisir une thématique durable et t’assurer de ne pas devoir tout refaire de zéro dans cinq ans (page 18).

– Pourquoi c’est une erreur de viser des clients qui ont un problème urgent à résoudre (ça peut t’apporter des ventes sur le court terme… mais ça va te demander des efforts inutiles sur le long terme) (page 19).

– Comment créer des produits qui durent, que tu pourras continuer à vendre dans 10 ans ou dans 20 ans : chaque effort que tu mets aujourd’hui dans la création d’un produit est un investissement qui continuera à t’apporter des fruits sur le très long terme (page 23).

– Les 3 façons d’enseigner, et la seule des trois qui permet de créer des formations qui ne deviendront jamais obsolètes (page 24).

– Les deux raisons pour lesquelles la plupart des créateurs vivent dans le stress et l’anxiété permanente, pourquoi c’est ce qui les empêche de persister, et comment retrouver la sérénité qui permet de durer, grâce à l’organisation durable (page 64).

– Le meilleur moyen de trouver des clients durables qui achètent tes produits régulièrement, même SANS faire de vidéos YouTube, ni de publicité, ni de référencement (page 79).

Tout le détail est sur la page de présentation du Manuel des activités durables.


📷 La photo du jour :

Astuce si tu as des chats chez toi, et qu'ils ont tendance à creuser dans la terre de tes plantes : la recouvrir de cailloux ! C'est radical.


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